De retour du Salon du livre de Leipzig 2010
On a lu deux fois. Une fois la salle était pleine, la deuxième fois, elle était moins pleine. On commence a avoir des fans qui viennent nous voir d'une fois sur l'autre. Schott, l'éditeur de "The Pommes" a mis le paquet, badges, cartes postales. On ressemble de plus en plus à un groupe, enfin un duo.
Le stand de la Chine m'a bien amusé, comme à chaque fois, il n'y est question que de Taichi, d'acuponcture, de médecine, de Confucius ou de cuisine. Apparemment il n'y a pas d'auteurs chinois contemporains.
Quand à mes prédictions, elles étaient toutes fausses, pas de buzz autour d'Axolotl Roadkill, le roman d'Helene Hegemanns, les gens adorent ou détestent, c'est tout. Plus de débat sur plagiat ou pas.
Rien non plus sur la mort lente des imprimeurs, sur Amazon, ou sur l'iPad.
J'avais raison sur un point : dans le sud il faisait plus beau que dans le nord. Et c'est à Leipzig que j'ai mangé le meilleur Carpaccio. Surprenant, étonnant, incroyable impossible, mais pourtant, c'est comme ça. Et je ne l'avais pas prévu.